© Sylvain Gripoix 

Le groupe Odeia se plaît à s’approprier des répertoires de tous les coins du monde en enjambant les détroits qui séparent mers et océans.
Sur le thème des larmes, toutes les larmes, celles qui font pleurer, celles qui font rire, celles qui libèrent, celles qui rassemblent, Odeia crée de nouveaux ponts entre les langues qui se conjuguent à tous les temps.

Alors sortez vos parapluies, il va pleurer !

Il pleut des cordes, violon, violoncelle, guitares et contrebasse. Elles font vibrer la corde sensible, et révèlent la voix puissante, grave ou joyeuse, pleine de larmes ou de piquants de la chanteuse Elsa Birgé.
Pour ce troisième opus, Odeia vogue vers un nouvel horizon, travaillant avec d’autres oreilles et d’autres plumes, s’entourant des compositeurs contemporains Jean-François Vrod et Karl Naegelen aux influences traditionnelles ou baroques.

Grâce à leur approche très personnelle de la composition musicale et leur lien fort à la transmission orale, ils amènent le groupe à se renouveler en creusant leurs perspectives tout en affirmant leur imaginaire.
Odeia revisite ainsi des airs et lamentations de Scarlatti, Vivaldi et Dowland, ou des musiques traditionnelles du centre de la France, de Grèce et d’Italie.

Elsa Birgé : Voix
Lucien Alfonso : Violon
Karsten Hochapfel : Violoncelle, guitare
Pierre-Yves Le Jeune : Contrebasse

  

 

 

10 JANVIER Le Palace, Surgères (17) 

2 FÉVRIER Théâtre Philippe Noiret, Doué-en-Anjou (49) 

4 FÉVRIER CONCERT DE SORTIE DE L'ALBUM "IL PLEUT" / Studio de l'Ermitage, Paris (75)  

21 MARS Théâtre Les Yoles, Notre Dame de Monts (85) 

22 MARS Challans (85) 

24 AVRIL C'61, Passais (61) 

26 AVRIL Théâtre Boris Vian, Couëron (44)  

8 JUILLET Festival Aux Heures d'été, Nantes (44) 

  

 

 

 

 

 

 

 

" Coup de Cœur pour l’album "Il Pleut" d’Odeia, beau à en pleurer ! "

Lire la Chronique entière de Marjorie Rousseau (févr25)

Lire l'interview d'Elsa Birgé

" Des airs anciens, mais des habits neufs dans les orchestrations et les échanges entre les musiciens, quelque chose d’imperceptiblement plus complexe derrière la voix franche et pure d’Elsa Birgé et le violon toujours chargé d’émotion de Lucien Alfonso ; le travail chambriste du violoncelle n’y est pas étranger. Le choix du répertoire encore moins."

Lire la Chronique entière de Franpi Barriaux (févr25)